Les jours passent, les feuilles s’envolent, le froid s’installe insidieusement à l’extérieur. Notre temps est compté. Nous le consacrons essentiellement à l’IEF, à nos tâches quotidiennes, et autres petits engagements.
C’est un temps qui nous amène au travail intellectuel bienfaisant… Dehors il fait gris. Le feu du poêle qui ronfle nous donne envie de travailler dans nos manuels.
J’essaie d’alterner le travail de la tête et le nécessaire besoin de nous aérer et bouger. Nous partons en promenade quotidienne. Je trouve également la moindre occasion pour enfiler nos manteaux et sortir dehors un quart d’heure. Je me rends compte combien ces moments sont importants pour aider les enfants à soutenir leur attention dans leurs travaux à caractère scolaire.
Ramasser le tapis de feuilles dorées, cueillir des châtaignes, observer les champignons qui se cachent dans les sous bois, aller chercher à pied le pain au village voisin,faire des promenades en ville en attendant les cours de musique ou d’arts. Toutes ces petites occasions sont autant de chance pour nous de lutter contre l’hibernation qui pourrait nous scléroser dans la maison…
Les enfants qui partent à l’école sont obligés de mettre le nez dehors. En classe maison, il nous faut créer ces prétextes qui sont fondamentaux pour la santé de nos enfants.
Sommeillent en ce moment plusieurs articles pour ce blog dans mes brouillons . J’ai eu trop peu de temps de passer ici…
